Coup dur pour le FC Nantes : le jeune milieu Louis Leroux s’est blessé avec les Espoirs et sera absent plusieurs semaines.
Le FC Nantes devra composer sans Louis Leroux pendant une durée significative. Le jeune milieu de terrain de 19 ans s’est blessé à une cuisse mercredi dernier, lors d’un entraînement avec l’équipe de France Espoirs. Cette blessure, contractée alors qu’il préparait les matchs de qualification à l’Euro Espoirs 2027, s’annonce plus sérieuse que prévue. Il a déjà déclaré forfait pour les rencontres face à la Suisse (1-1) et aux Îles Féroé, mais son indisponibilité va se prolonger.
FC Nantes : une absence de poids pour Luis Castro
Auteur de dix titularisations cette saison avec les Canaris, Louis Leroux s’était imposé comme un élément polyvalent du groupe dirigé par Luis Castro. Capable d’évoluer au milieu mais aussi d’assurer des dépannages sur le côté gauche de la défense, il avait gagné en temps de jeu et en importance depuis le début de saison. Sa blessure à la cuisse vient donc freiner une dynamique prometteuse.
Pour le FC Nantes, cela signifie qu’il faudra revoir certains équilibres dans l’entrejeu, d’autant que les Canaris traversent une période délicate avec plusieurs échéances décisives à venir. L’absence de Leroux va probablement obliger le staff à faire appel à d’autres jeunes ou à repositionner certains cadres.
FC Nantes : quels matchs manquera Louis Leroux ?
Selon nos informations, le joueur pourrait être absent jusqu’à la trêve hivernale, soit potentiellement plus d’un mois loin des terrains. D’ici là, le FC Nantes affrontera successivement le FC Lorient à domicile, puis se déplacera à Lyon et Angers, avant de recevoir le RC Lens. À cela s’ajoute le 32e de finale de Coupe de France programmé le week-end du 20-21 décembre.
Une série d’affiches cruciales pour les Canaris, engagés dans la lutte pour s’éloigner de la zone rouge. L’absence de Leroux tombe donc au plus mauvais moment. Reste désormais à savoir si le club décidera de recruter ou de puiser davantage dans son centre de formation pour compenser.
Source : Ouest-France

