À la suite des incidents survenus lors de la réception de l’Atalanta Bergame, l’Olympique de Marseille a écopé d’une amende globale de plus de 70 000 euros et d’une menace de fermeture partielle du Vélodrome.
Plusieurs infractions relevées par l’UEFA
Le verdict est tombé pour l’OM. Après les débordements constatés lors du match de Ligue des champions contre l’Atalanta Bergame, le 5 novembre dernier (défaite 0-1), l’UEFA a infligé plusieurs sanctions au club marseillais. La commission de contrôle, d’éthique et de discipline (CEDB) a relevé des manquements aussi bien du côté des supporters que du staff.
Une amende salée de plus de 71 000 euros
En tout, ce sont 71 625 euros d’amende qui ont été prononcés à l’encontre du club olympien. Le motif le plus sévèrement sanctionné est l’utilisation de fumigènes, avec une amende de 35 000 euros.
Mais ce n’est pas tout : l’UEFA a également décidé d’imposer une fermeture partielle du stade Vélodrome pour un futur match de compétition européenne. Les secteurs M, N, O, P, Q, L, J, I, G, E, C, B et R de la tribune Sud sont concernés. Cette sanction est suspendue pendant deux ans, sous réserve de bonne conduite.
Une période sous surveillance pour l’OM
Le club phocéen se retrouve ainsi sous période probatoire. En cas de récidive lors d’un prochain match européen, cette suspension pourrait devenir effective et priver une partie des supporters du Vélodrome.
Ce nouvel avertissement s’ajoute à une longue liste d’incidents qui coûtent cher à l’OM sur la scène continentale. Il intervient dans un contexte où l’UEFA renforce ses exigences en matière de sécurité et de comportement dans les stades.
Source : Sportune

